samedi 30 novembre 2013

LE PLACEMENT PREFERE DES CHEFS D'ENTREPRISES


Epargne Salariale
Dans un contexte où la fiscalité se durcit, l'épargne salariale reste, en 2013, le régime le plus favorable de tous les mécanismes d'Epargne financière.

Mettre en place un dispositif d'épargne salariale (PEI et PERCO-I) dans votre entreprise, offre des avantages incontournables :
+ Constitution d'une épargne pour les moments importants de la vie
(achat de résidence principale, mariage, naissance, retraite)


+ Cadre fiscal et social avantageux pour vous et vos salariés


Votre épargne salariale est gérée par AXA : 
votre entreprise a fait le bon choix !

Dans son supplément ARGENT ET PATRIMOINE publié en mai dernier, LE MONDE a publié 
un palmarès des sociétés de gestion d'épargne salariale
réalisé par la société MORNINGSTAR* qui a évalué la performance des fonds proposés dans les contrats d'épargne salariale, sur différentes périodes : 1an, 3 ans et 5 ans.

AXA IM, notre société de gestion
figure en tête du palmarès des sociétés de gestion d'épargne Salariale. 

Cette étude vient récompenser le travail d'analyse et de sélection de nos gérants.

Pour en savoir plus, prenez contact :

Pierre-jean GALERNE
Agent Général AXA Prévoyance & Patrimoine
Particuliers / Professionnels / Entreprises
tel : 01.48.76.16.48
ORIAS n° : 07 034 965
MIF n°:10906321440OF



lundi 4 novembre 2013

Diversifier son contrat d’'assurance-vie pour le dynamiser


Avec l’'effritement des performances des fonds en euros, investir sur des unités de compte (UC) permet de redonner du lustre à son épargne. Divers profils de risque sont proposés

Par L'Opinion
En complément du fonds en euros, la recherche de rendement sur long terme nécessite d’investir une part de son épargne sur des unités de compte. Différentes solutions sont proposées par les assureurs pour faire rimer performance et sécurité.
Si investir 100 % de son épargne sur un fonds en euros est un gage de sécurité, ça l’est de moins en moins en matière de rendement. L’environnement actuel de taux bas limite le potentiel de performance de ce support même si les assureurs s’emploient pour délivrer un rendement convenable (lire "Le fond en euros pour la sécurité"). Dès lors, pour capter une potentielle performance des marchés financiers et dynamiser votre assurance-vie en optimisant le couple rendement/risque, la diversification apparaît comme une nécessité. En 2012, elle a permis aux clients d’AXA une valorisation de 4,55 % de leur épargne avec la « convention essentielle »  et de 4,77 % avec la « convention précaution », disponibles dans leur contrat d’assurance-vie.
La diversification revêt plusieurs formes. Les assureurs peuvent proposer ponctuellement des supports adossés à des sous-jacents (actions, obligations...) offrant une garantie totale ou partielle de la valeur liquidative (VL) à l’échéance. Mais aussi des émissions d’obligations d’entreprise servant un coupon capitalisé avec une garantie de récupérer sa VL à l’échéance, sauf en cas de défaut de l’émetteur. Ces produits ont connu un certain succès ces  dernières années. Mais cela nécessite de mobiliser son épargne et aujourd’hui, l’environnement de taux bas rend difficile leur structuration.
Autre solution pour dynamiser son assurance-vie : les unités de compte (UC, parts de fonds commun de placement ou de Sicav) sur lesquelles Cyrille Chartier-Kastler, président du cabinet Fact & Figures, conseille de placer « entre 20 % et 30 % de son épargne et le solde sur le fonds en euros ». Ce que permettent les contrats multisupports. Cette répartition est plutôt sécurisée car après huit à dix ans, on est sûr de récupérer son capital, même si la part des UC s’est effondrée. En 2012, elles ont rapporté en moyenne 11,3 %.
Lisser la volatilité des marchés financiers. Les UC donnent accès à une palette très large de sociétés de gestion et de classes d’actifs au profil de risque et de rendement variés : actions (géographiques, sectorielles, de style), obligations (haut rendement, non notées...), fonds monétaires, immobilier, flexibles... Leur succès est toutefois mitigé puisqu’elles représentaient, fin 2012, 15 % des cotisations (16,8 milliards d’euros) et 16 % des provisions mathématiques (218,1 milliards d’euros). Il est vrai que les UC sont soumises aux fluctuations des marchés financiers, à la hausse comme à la baisse. Un risque de perte en capital n’est pas exclu. Car contrairement au fonds en euros, le capital et les plus-values ne sont pas garantis. Par ailleurs, « l’assurance-vie ne permet pas de déduire les moins-values à la différence d’un compte titres ou d’un PEA », rappelle Cyrille Chartier-Kastler.
Reste à réaliser leur sélection et leur allocation. Avant de passer à l’acte, un bilan patrimonial est recommandé afin de définir quelle part y consacrer. Les plus initiés mixeront eux-mêmes les classes d’actifs, les devises... avec une corrélation la plus faible possible afin de lisser la volatilité, les contre-performances possibles.
Les moins avertis se verront proposer différentes options de pilotage, comme les fonds flexibles ou profilés (prudents, équilibrés ou dynamiques), dont la gestion sous contrainte peut handicaper. Mais aussi des conventions de gestion et des mandats de gestion. Les premières mettent en place une diversification plus ou moins dynamique entre le fonds en euros et les UC correspondant au profil de l’assuré. Un profil qui peut être maintenu tout au long de la durée de vie du contrat grâce au réajustement automatique et périodique de l’épargne entre les UC et le support en euros. En cas de baisse des marchés financiers, ce réajustement entraîne un désinvestissement d’une partie de l’épargne présente sur le fonds en euros vers les UC. Ce réajustement permet de réinvestir sur les supports en UC quand leur valeur est à la baisse et ainsi de profiter des rebonds potentiels des marchés. En cas de hausse, le réajustement a pour effet de sécuriser une partie des performances en désinvestissant une partie de l’épargne présente sur les UC vers le support en euros. Dans le cadre d’un mandat sous gestion, l’épargnant délègue à des experts la gestion et les arbitrages entre les UC. Le gérant réalisera l’allocation en fonction de ses convictions, de l’environnement économique et financier de façon transparente.
Enfin, des arbitrages automatiques permettent de sécuriser les gains sur les UC en les reportant sur le fonds en euros. Inversement, les gains du support en euros sont dynamisés en les investissant sur des UC. Et en cas de perte, des « stop loss » sont possibles.