mercredi 5 avril 2017

Assurer son emprunt immobilier :
pourquoi et par qui ?

Assurer-son-emprunt-immobilierContracter un prêt personnel ou professionnel engage pour longtemps. C’est une décision grave. Plus le montant est élevé et la durée longue, plus les risques sont importants. Savoir que ses proches ou associés seront à l’abri permet de vivre sereinement cette période.

L’assurance emprunteur permet de couvrir trois risques principaux :
  • L’assurance décès qui rembourse le capital assuré restant dû au jour du décès. La souscription de cette garantie subordonne l’obtention d’un crédit immobilier,
  • L’assurance incapacité qui prend en charge les échéances du prêt, le temps de l’arrêt de travail, consécutif à une maladie ou à un accident,
  • L’assurance invalidité qui couvre l’invalidité permanente totale ou partielle.

Auprès de qui s’assurer ?
L’emprunteur peut librement choisir l’organisme auprès duquel il souscrira l’assurance de son prêt (art. L122-1 du Code de la consommation et art. L312-1-2 du Code monétaire et financier).
Garanties et tarifs sont différents d’un organisme à l’autre : il est important de comparer et de faire jouer la concurrence.
Quelle cotisation ?
La cotisation dépend de la durée, du montant du prêt et de l’âge du souscripteur. Certains contrats prennent aussi en compte l’activité professionnelle pour affiner plus encore le tarif.
Qui assurer ?
Si votre prêt est personnel, vous pouvez vous assurer avec votre conjoint pour sécuriser davantage votre projet.
Si votre prêt est professionnel, vous pouvez vous assurer mutuellement entre associés pour garantir la pérennité de votre activité.
En savoir plus
La nouvelle convention AERAS* de 2011 facilite les démarches et l’accès à l’assurance et au crédit des personnes présentant un risque de santé aggravé. Pour toute information, n’hésitez pas à consulter le site.
(*) Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé

samedi 25 février 2017

Les 3 innovations du contrat d’assurance-vie CLER d’AGIPI




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Pierre-jean GALERNE
Agent général d’assurance exclusif
AXA PREVOYANCE & PATRIMOINE
Votre avenir, notre expertise
Tél : 01 48 76 16 48

Sociétés d’assurance mandantes : AXA France Vie & AXA Assurances Vie mutuelleDémarcheur financier d’AXA France pour l’épargne salarialeMandataire exclusif en opérations de banque et Agent lié d’AXA BanqueN° ORIAS  07 034 965  www.orias.frACPR – Autorité de contrôle prudentiel et de résolution : 61 Rue Taitbout – 75009 PARISLe détail des procédures de recours et de réclamation et les coordonnées du service dédié sont disponibles sur les sites www.axa.fr. En cas de non résolution d’un différend à l’issue du processus de réclamation, vous pouvez avoir recours au Médiateur, en vous adressant à l’association :La Médiation de l'AssuranceTSA 5011075441 PARIS CEDEX 9

samedi 5 novembre 2016

Comment financer les études de son enfant ?

Comment financer les études de son enfant ?


Les études supérieures représentent un coût généralement loin d’être négligeable. Mieux vaut anticiper ces dépenses et prévoir des solutions de financement pour y faire face.

Poursuivre des études supérieures coûtent chères. A fortiori si votre progéniture envisage une formation en école de commerce, dont les frais d’inscription s’élèvent en moyenne à 9.000 euros par an. Pour assurer le financement du cursus suivi par votre enfant, ainsi que le coût de son logement et de ses dépenses quotidiennes, plusieurs solutions s’offrent à vous.
  • Ouvrir un livret à son nom
Vous pouvez souscrire un produit d’épargne réglementée, comme le Livret A, au nom de votre progéniture dès sa naissance. C’est un bon moyen pour mettre régulièrement de l’argent de côté, une petite partie de votre salaire chaque mois par exemple, et lisser ainsi votre effort d’épargne. Seul problème, le Livret A confère une rémunération de seulement 0,75%. Il est également possible d’ouvrir un plan d’épargne logement (PEL). Mais là encore, le taux de rendement est faible. Il est tombé à 1% depuis le 1er août 2016. 
  • Souscrire une assurance vie
C’est pourquoi il semble préférable de souscrire une assurance vie au nom de votre enfant. Le fonds euros de ce placement a rapporté en moyenne 2,30% en 2015, selon la Fédération française de l’assurance (FFA). Il existe des contrats dits « intergénérationnels » qui permettent le déblocage de l’argent placé entre le 18ème et le 25ème anniversaire de votre enfant.
Il est également possible de prévoir des rachats programmés à compter par exemple, des 18 ans de votre enfant. Ils permettent de percevoir une partie des intérêts et plus-values générés par l’assurance vie sous la forme de revenus périodiques. C’est un bon moyen pour éviter que votre fille ou votre fils ne reçoive d’un coup tout le capital et le dilapide très rapidement.
  • Prévoir une rente éducation
Dans tous les cas, il est conseillé de souscrire une assurance vie pour votre enfant au moins huit ans avant sa majorité ou le début de ses études supérieures. Il pourra ainsi bénéficier de la fiscalité avantageuse de ce placement, qui offre un abattement de 4.600 euros par an sur les gains récupérés passé huit ans de contrat.
Enfin, vous pouvez prévoir une rente éducation dans le cadre d’une assurance vie souscrite à votre nom. En cas de décès ou d’invalidité, vos enfants bénéficieront alors du versement d’une rente mensuelle qui leur permettra de poursuivre leurs études.
  • Effectuer une donation-partage
Outre l’assurance vie, il est possible d’effectuer une donation-partage par acte notarié, sans que les sommes soient taxées par l’administration fiscale. Un abattement de 100.000 euros par enfant et par période de 15 ans s’applique à un don fait par les parents. Dans le cadre d’une donation d’un grand-parent au profit de son petit-enfant, l’abattement s’élève à 31.865 euros.

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Pierre-jean GALERNE
Agent général d’assurance exclusif
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lundi 17 octobre 2016

Organiser sa retraite avec le Perp

Un contrat retraite Perp est une solution complémentaire pour percevoir des revenus réguliers à vie pour la retraite. Ouvert à  tous, il vous accompagne tout au long de votre vie active pour votre retraite de demain tout en bénéficiant aujourd’hui de déductions fiscales.

Les atouts du contrat retraite Perp

Souplesse de gestion

  • Vous décidez du montant, du mode et de la périodicité de vos versements. Vous avez la possibilité d’interrompre, de reprendre ou de modifier vos versements à votre convenance en respectant les conditions indiquées dans la notice du contrat.
  • Vous choisissez, au terme de l’adhésion, des revenus qui vous seront versés sous forme de rente parmi un large choix d’options, modulables selon vos besoins. La rente acquise est revalorisable chaque année.

Cadre fiscal favorable

  • Vous bénéficiez de déductions fiscales sur votre revenu professionnel imposable dans la limite du plafond de déductibilité (selon la législation en vigueur au 01.09.2015).
  • Chaque membre du foyer fiscal peut posséder un Perp et déduire les cotisations qu’il verse à ce titre. Vous pouvez, dans le  cadre d’une imposition commune, bénéficier d’une déduction supplémentaire dans la limite du plafond de déduction non utilisé par votre conjoint (selon la législation en vigueur au 01.09.2015).
  • Report des cotisations : si vous n’utilisez pas, au titre de l’année, votre disponible fiscal Perp, il peut être reporté sur les 3 années suivantes (selon la législation en vigueur au 01.09.2015).

Une fois à la retraite

selon la législation en vigueur au 01.09.2015
  • Lors du versement de votre retraite, votre adhésion au contrat de retraite Perp arrive à terme. La rente alors versée sera soumise à l’imposition sur le revenu dans la catégorie des pensions (selon la législation en vigueur au 01.09.2015).
  • Elle bénéficiera à ce titre de l’abattement de 10 % et sera soumise aux prélèvements sociaux.
  • Vous avez la possibilité de percevoir jusqu’à 20 % de votre compte de retraite Perp sous forme de capital le jour de votre  départ à la retraite. Les sommes perçues au titre de cette faculté de sortie en capital sont également soumises au même titre que la rente, au régime des pensions et retraites.
Cordialement
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Pierre-jean GALERNE
Agent général d’assurance exclusif
AXA PREVOYANCE & PATRIMOINE
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N° ORIAS  07 034 965  www.orias.fr
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Le détail des procédures de recours et de réclamation et les coordonnées du service dédié sont disponibles sur les sites www.axa.fr. En cas de non résolution d’un différend à l’issue du processus de réclamation, vous pouvez avoir recours au Médiateur, en vous adressant à l’association :
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vendredi 9 septembre 2016

La prévoyance des artisans – commerçants : à quoi faut-il faire attention ?

En tant qu’artisan-commerçant, une vigilance toute particulière s’impose en matière de prévoyance.En effet, la prévoyance procurée par le Régime Social des Indépendants (RSI) s’avère des plus restreintes.
Pour contrer cet effet et pour chaque poste, des solutions facultatives sont à mettre en place.
1 – Arrêt de travail : des indemnités journalières minimales
Les indemnités journalières sont attribuées à l’expiration d’un délai de carence de 3 jours en cas d’hospitalisation et de 7 jours en cas de maladie ou d’accident à compter de la constatation médicale et pendant :
  • 360 jours appréciés sur  une période quelconque de 3 ans dans le cas général
  • 3 ans en cas d’une même affection de longue durée ou au titre de soins de longue durée
Le montant des indemnités journalières est très proche de celui procuré aux salariés par la Sécurité Sociale : 1/730ème du revenu annuel moyen des 3 dernières années (dans la limite du Plafond de Sécurité Sociale).
  • IJ minimum : 21,16 € en 2016    
  • IJ maximum : 52,90 € en 2016
Points de vigilance :
  • Quels revenus percevoir en cas d’arrêt de travail ?
  • A partir de quand la prestation du régime supplémentaire doit-elle débuter (ce qu’on appelle le délai de franchise) ?
  • Durant combien de temps la prestation supplémentaire doit-elle être versée ?
​2 – Invalidité : des garanties obligatoires comprises entre le RSA et le SMIC
Depuis 2015, les régimes d'invalidité des commerçants et des artisans sont fusionnés.
  • L'invalidité partielle
Le montant de la prestation : 30% du revenu professionnel moyen avec un maximum de 11 584,80 € par an en 2016.
  • L'invalidité totale
Le montant de la prestation : 50% du revenu professionnel moyen avec un maximum de 19 308 € par an en 2016.
Le besoin d'une tierce personne
Cette majoration est accordée aux invalides dont l’état de santé requiert l’assistance permanente d’une tierce personne pour accomplir les actes ordinaires de la vie courante.
Montant de la prestation : 13236,98 € par an.
Points de vigilance :
  • Quels revenus percevoir en cas d’invalidité ?
  • Etre vigilant sur les conditions de déclenchement de l’invalidité partielle (la prestation du RSI n’étant servie qu’à partir de 66% d’invalidité permanente)
 3 – Décès : les garanties obsèques procurées par le RSI
Pour faire simple, il n’existe pas de protection sérieuse procurée par le RSI en cas de décès de l’assuré.
Les garanties relèvent plus des frais d’obsèques :
Capital décès des ayants droit d’un artisan ou commerçant actif :
En cas décès, les ayants droit d’un assuré cotisant peuvent percevoir un capital décès de 20% du plafond annuel de sécurité sociale (7 723,20 € pour 2016). 
Capital décès des ayants droit d’un artisan ou commerçant retraité:
Un capital décès peut être versé (8% du PASS soit 3089,28 € pour 2016) si l’assuré décédé bénéficiait d’une allocation ou d’une pension de vieillesse des régimes d’assurance vieillesse du RSI.
Capital décès pour les orphelins :
Un capital décès supplémentaire pour les orphelins équivalent à 5% du PASS, soit 1930,80 € peut s’ajouter au capital  principal.
Aucune rente n’est servie aux conjoints survivants et aux orphelins.
Point de vigilance :
Dès qu’un conjoint (ou un(e) partenaire vit avec l’assuré, la souscription d’un contrat supplémentaire décès est impératif.

Notre cabinet se tient à votre disposition pour préciser les objectifs et mettre en place les solutions adaptées à votre situation familiale, fiscale et patrimoniale.

Bien Cordialement

Agent Général AXA Gestion Privée
Particuliers / Professionnels / Entreprises
tel : 01.48.76.16.48
Agent général d’assurance, Agent lié de prestataire de services d’investissemen,intermédiaire en opérations de banque enregistré auprès de l’ORIAS www.orias.fr n° 07034965.Mandataire AXA Banque, AXA France, AXA France Vie, AXA Assurances Vie Mutuelle MIF n°:10906321440OF. Responsabilité civile professionnelle CGPA n°54770.Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) - 61 Rue Tait bout - 75009 PARIS

vendredi 3 juin 2016

Pension de retraite : De grandes disparités demeurent entre les retraités.

Selon les derniers chiffres disponibles, la pension moyenne a encore augmenté de 1,2% en 2014 pour dépasser 1.300 euros par mois. De grandes disparités demeurent, toutefois, entre les retraités.
Contrairement aux idées reçues, le montant des retraites augmente en France. Il a encore progressé de 1,2% entre 2013 et 2014 pour atteindre en moyenne 1.322 euros bruts par mois, selon le dernier panorama des retraites de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) du ministère des Affaires sociales publié le 28 avril 2016.
Les nouveaux retraités étant généralement plus qualifiés, ils perçoivent des pensions plus élevées. Or, compte tenu de la mortalité naturelle, ces derniers remplacent petit à petit les retraités plus âgés et aux retraites plus modestes. C’est ce que les économistes appellent « l’effet noria ».
Ecarts entre public et privé
C’est ainsi que le montant moyen des pensions a augmenté de 4% entre 2009 et 2013. En revanche, l’effet noria n’éclipse pas les disparités de pension entre statut professionnel. Ainsi, si on prend en compte uniquement les uni-pensionnés à carrières complètes, c’est-à-dire les retraités n’ayant connu qu’un seul statut durant leur vie active et qui disposent de tous leurs trimestres de retraite, il existe des écarts importants entre le secteur public et le secteur privé.
Avec 2.210 euros bruts par mois, la retraite moyenne des fonctionnaires civils d’Etat s’avère la plus conséquente. Cette catégorie de la fonction publique est, il est vrai, plus diplômée que la moyenne et le taux d’agents de catégorie A (cadres) y est important. Plus étonnant, les agents des régimes dits « spéciaux », c’est-à-dire relevant d’établissements ou d’entreprises publics comme EDF, la SNCF, la RATP ou la Banque de France, arrivent en deuxième position avec une retraite moyenne de 2.020 euros.
Les commerçants en queue de peloton
Premiers représentants du secteur privé, les professions libérales (médecins, avocats, notaires, architectes, experts-comptables…) se classent troisième avec 1.920 euros de retraite globale (pensions de base et complémentaires confondues). Les quatrième et cinquième places reviennent dans le giron du public, occupées respectivement par les militaires (1.670 euros) et les fonctionnaires territoriaux et hospitaliers (1.410 euros).
Les salariés du privé se hissent seulement au sixième rang (1.180 euros) suivis des artisans (710 euros), des agriculteurs (610 euros) et des salariés agricoles (540 euros). Les commerçants ferment la marche avec une retraite moyenne d’à peine 490 euros par mois.
Inégalités en baisse
Les différences de pension s’expliquent par le niveau de qualification mais aussi par les règles de calcul. Dans le public, la retraite est calculée sur les six derniers mois de traitement et le taux de pension équivaut à 75% du salaire de référence. Dans le privé, elle est basée sur les 25 meilleures années de rémunération et le taux de pension est fixé à seulement 50%.
En revanche, l’écart de pension entre hommes et femmes tend à s’estomper. Toujours d’après la Drees, la retraite moyenne féminine était inférieure de 39,3% en 2014 par rapport à la retraite moyenne masculine. Le « gap » se situait à 45,4% en 2014. Cette atténuation progressive des inégalités entre les sexes résultent de la hausse à la fois du taux d’activité et du niveau de qualification chez les femmes.
Notre cabinet se tient à votre disposition pour construire ensemble vos objectifs et mettre en place les solutions adaptées précisément à votre situation familiale, fiscale et patrimoniale.

Bien Cordialement

Agent Général AXA Gestion Privée
Particuliers / Professionnels / Entreprises
tel : 01.48.76.16.48
Agent général d’assurance, Agent lié de prestataire de services d’investissemen,intermédiaire en opérations de banque enregistré auprès de l’ORIAS www.orias.fr n° 07034965.Mandataire AXA Banque, AXA France, AXA France Vie, AXA Assurances Vie Mutuelle MIF n°:10906321440OF. Responsabilité civile professionnelle CGPA n°54770.Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) - 61 Rue Tait bout - 75009 PARIS

vendredi 29 avril 2016

Pour une majorité de français, l'épargne retraite devrait être obligatoire.

Six personnes sur dix estiment qu’il faudrait contraindre les actifs à épargner pour leur retraite, d’après une étude présentée le 12 avril 2016.
La retraite par capitalisation n’est, paraît-il, pas bien vu en France. Les mentalités semblent avoir évoluées si l’on en croit une étude du cabinet de conseil et d’audit Deloitte dévoilée le 12 avril 2016. Selon cette enquête réalisée auprès de 4.000 personnes âgées de 25 ans et plus, 60% des répondants déclarent qu’il faudrait rendre l’épargne retraite individuelle et collective obligatoire dans l’Hexagone. Chez les retraités, le ratio monte même à 72% en faveur de la « capi ».
Cet engouement pour l’épargne retraite découle d’une méfiance grandissante quant à la pérennité des régimes de retraite par répartition dans lesquels les actifs financent via leurs cotisations les pensions des retraités. Seulement 29% des sondés estiment que ces systèmes basés sur la solidarité intergénérationnelle ont de l’avenir. A l’inverse, 55% pensent que les systèmes de retraite individualisée dans lesquels chacun cotise pour sa future pension sont plus solides.
L’assurance vie plus que jamais
Si les Français plébiscitent l’épargne retraite, cela ne se voit pas vraiment dans les faits. A peine 57% des actifs disent avoir mis de l’argent de côté pour préparer leurs vieux jours en 2015. Le montant moyen épargné dans l'année a légèrement augmenté, passant de 1.866 euros en 2014 à 1.933 euros en 2015. Reste que 72% des actifs ont thésaurisé 455 euros l'an dernier, un niveau largement insuffisant pour se constituer un complément de revenu à la retraite.
Autre paradoxe : les produits d’épargne retraite individuelle sont… peu utilisés. Seuls 9% des personnes interrogées possèdent un plan d’épargne retraite populaire (Perp), un contrat Préfon-Retraite, un contrat de retraite mutualiste (Corem) ou un contrat de retraite des hospitaliers (CRH). Pire : la détention de ces produits, qui proposent le versement d’une rente viagère à la retraite, recule de 2 points par rapport à 2014.
A contrario, l’assurance vie renforce sa position de produit financier numéro un pour la préparation à la retraite. 33% des sondés la considèrent comme le meilleur moyen de compenser leur perte de pouvoir d’achat après la vie active. Soit 2 points de plus comparé à 2014.

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